Cet article n’est plus disponible.
Il a été corrigé, amélioré et implémenté dans l’e-book gratuit Écrire Bond : dans les coulisses de l’écriture des films de l’espion et sa traduction anglaise Scripting 007: Behind the writing of the James Bond movies.
N’hésitez pas à les télécharger !
Il n’est pas inutile de préciser que ce script recycle en fait pas mal d’idées empruntées au scénario maudit du Bond17 qu’aurait dû interpréter Timothy Dalton ( tout ce qui tourne autour du Nucléaire , mais aussi les extérieurs de Hong Kong , etc . ) .
A tel point que je m’étonne que ni Michael France , ni alfonse Ruggiero Jr. , ni même Richard Maibaum n’aient été remerciés sur T.N.D par Fernstein …
Spottiswoode m’a par ailleurs confirmé qu’il n’avait vraiment pas lu le roman de Raymond Benson lorsqu’on décida de ré-écrire ds l’urgence le scénar – et qu’il voulait que le pré-générique ressemble en fait à Cliff-hanger ( le film de Stallone … )
C’est vrai que Demain ne meurt jamais est un peu précipité dans son scénario. Tout tourne autour des scènes d’actions sans vraiment d’effort pour unir toute l’intrigue.
C’est vrai que c’est assez étrange que seul Fernstein n’ait été crédité. Concernant Bond 17, petit teasing, un article est presque prêt et devrait bientôt voir le jour.
Oh je trouve le film plutôt bien ficelé au final, mais c’est vrai que l’action est vraiment omniprésente. Je conseille la novélisation de Benson, elle fait partie de celles qui sont réussites. Il y a des chapitres entiers consacrée aux autres personnages que 007 qui nous apprennent des choses pas négligeable.
Je n’ai pas beaucoup aimé la novélisation de demain ne meurt jamais. Pour tout dire, je me suis arrêté à la moitié parce que je m’ennuyais vraiment. oui, le livre donne du fond aux personnages, mais pas du fond bien intéressant, pas de dialogue vraiment passionnant qui viendrait compléter le livre. J’étais assez excité en abordant le livre, en espérant y trouver un monde bien différent des films et avec un vrai style, comme Fleming, mais au final, je l’ai trouvé bêtement narratif sans vraiment de relief